Sursis de 30 jours pour les tarifs: «Trump montre qu'il est capable de mettre à genou ses adversaires»

À l'occasion de sa revue de presse, jeudi matin, Paul Arcand aborde les menaces de Donald Trump et la réaction du Canada alors qu'Ottawa se tourne vers l’Europe pour un partenariat militaire qui permettra au Canada de participer au plan de réarmement massif de l’Europe de 800 milliards d’euros d’ici 2030. Il explique que le Québec pourrait bénéficier de ce partenariat militaire en aérospatiale, du côté de l’intelligence artificielle, à Montréal, et dans la construction navale au chantier maritime Davie de Lévis. De plus, Paul Arcand souligne que le gouvernement fédéral songe à se tourner vers la société suédoise Saab pour acheter des avions de combat Gripen en remplacement des avions de combat F-35 de la société américaine Lockheed Martin. «Ce qui est clair, c'est que [Donald Trump] n'aime pas le Canada, qu'il veut affaiblir le Canada et qu'il a un objectif précis en ce qui concerne les ressources naturelles.» Autres sujets abordés: Les premiers tarifs de 10% sur l'acier et l'aluminium sont toujours facturés malgré leur abolition en 2019; Donald Trump doit signer jeudi un décret visant à démanteler le département de l’Éducation;Le président des États-Unis continue de s'en prendre au système judiciaire;Changement de ton entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky;De nouvelles frappes dans la bande de Gaza par l'armée israélienne;SAAQClic: 700 000$ payés à deux firmes pour surveiller l’avancement des travaux;Le député de Gouin et co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, va quitter la politique;La FTQ promet de sortir les «gros bras».Santé Québec a le temps de préparer un quiz sur le printemps.

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand aborde les circonstances autour du décès du petit Renaud, un bébé de 2 mois, survenu à l'hôpital de Rimouski en avril 2023 alors que le poupon était en bonne santé. «Est-ce que la mort de l'enfant est reliée aux vaccins? Le coroner ne peut pas répondre à la question.» Autres sujets abordés SAAQclic : le juge Denis Gallant a le mandat de faire la lumière sur le bordel informatique, financier et politique;Les «no-show» au restaurant : une pénalité de 10$ par client;Le Canadien de Montréal se trouve une place en séries éliminatoires, du moins, pour le moment.

À l'occasion de sa revue de presse du mardi 18 mars, Paul Arcand discute de la victoire écrasante du Parti québécois (PQ) dans Terrebonne, l'ancienne circonscription de Pierre Fitzgibbon. «Pour le premier ministre Legault, ce n'est même pas une victoire morale [...] On peut penser à l'écœurantite des citoyens, Northvolt, l'attente en santé et une grogne généralisée.» Autres sujets abordés Des attaques israéliennes sur Gaza auraient fait au moins 330 morts pendant la nuit sur le territoire palestinien: «C'est l'attaque la plus meurtrière depuis le début de ce cessez-le-feu.»Deux agences privées d’infirmières soupçonnées de collusion, dont une qui avait un contrat de services de soins à domicile pour la mère du premier ministre Legault.Près d'un Québécois sur deux a passé une mauvaise nuit.

À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand aborde les dernières actualités en lien avec le président américain Donald Trump.  Il commente notamment la confusion qui règne à la frontière canado-américaine concernant l'application des tarifs. Il est aussi question du discours de Donald Trump vendredi dernier où le président américain n'a pas hésité à blâmer les tribunaux et les médias. «Le roi jongle avec essentiellement deux balles: les tarifs et les institutions, c'est-à-dire la police, les tribunaux et les médias. L'objectif, toujours le même chez le roi: créer le chaos pour pouvoir gagner.» Autres sujets abordés Don historique de Pierre Lassonde à Polytechnique Montréal;Météo clémente au Québec et difficile à suivre en Europe;Le premier ministre Mark Carney a rencontré François Legault avant de s'envoler pour l'Europe;Les négociations pour un cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie se poursuivent;Les Québécois ont de moins en moins accès au système de santé.