500 millions de dollars appartenant à PFR sont placés en fiducie aux État-Unis, selon Alexis Brunelle-Duceppe et Mario Simard.
Selon eux, Ottawa doit minimalement compenser l’effet des surtaxes abusives imposées à Résolu et donner accès à des liquidités équivalentes auprès de l’entreprise.
Selon Mario Simard, dans le cadre d’une transaction d’importance comme la vente de PFR, toutes les pierres doivent être retournées. Il souleve que le conflit commercial avec les États-Unis sur le bois d’œuvre gèle des liquidités pouvant générer des investissements pour l’entreprise et que cela doit faire partie des discussions.