Limite de vitesse
La limite de vitesse passera à 40 km/h dans les quartiers résidentiels d’Alma dès l’an prochain.
Animé par Paul Arcand
Votre revue de presse est de retour. Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi.
À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont un grand nombre de nouveaux arrivants qui veulent échanger leur permis de conduire pour celui du Québec. Or, même s'ils échouent leur examen à la SAAQ, ces derniers peuvent tout de même conduire, représentant un danger au volant.
Ce sont des évaluateurs de conduite de la SAAQ qui ont levé un drapeau rouge sur cette pratique. En 2022, 80 000 demandes étaient faites auprès de la société d'État. En 2023, c'était 112 000 demandes. Cette année, on estime que près de 140 000 nouveaux arrivants voudront échanger leur permis de conduire pour celui du Québec.
Les évaluateurs ont fait état dans leur rapport que certains de ces nouveaux arrivants brûlent des arrêts, coupent des voitures, arrêtent en pleine rue, ne respectent pas les passages pour piétons, ni les limites de vitesse. De son côté, le gouvernement du Québec estime que ces personnes ont besoin de six mois pour s'ajuster au Code de la route québécois.
«L'impact, c'est clair, ça affecte la qualité des services. Donc, la demande est extrêmement forte. Mais ce qui est plus grave dans ça, c'est que vous arrivez au Québec, vous avez un permis de conduire de votre pays d'origine. Vous avez six mois pour obtenir un permis officiel de la SAAQ. Pendant les six mois, aucune obligation de prendre des cours de conduite. Pendant les six mois, si vous échouez l'examen de la SAAQ, il n'y a pas de problème, vous pouvez quand même continuer à conduire. Tout ce que vous avez à faire, c'est de prendre un rendez-vous 28 jours plus tard, et payer pour l'examen. Ça coûte 32$.»
- Paul Arcand
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont l'école primaire Bedford, située dans le quartier Côte-des-Neiges à Montréal, qui est sous le contrôle d'un clan de professeurs incompétents, rétrogrades et en mission idéologique.
Les premiers cas d'abus dans cette école ont été répertoriés en 2017. Déjà, la tension était palpable entre le clan de professeurs et leurs collègues, qui étaient mal à l'aise face aux «vieilles méthodes utilisées». Par exemple, les professeurs en question n'enseignaient pas la science ni la sexualité, obstruaient les fenêtres dans la classe, refusaient de l'aide d'autres professionnels et utilisaient la «manière forte» avec les autistes.
Le ministère de l'Éducation a lancé une enquête sur l'école à la suite des reportages diffusés par la journaliste de Cogeco Nouvelles, Valérie Lebeuf.
«Pendant des années, des enfants ont été humiliés, insultés. Ils ont été privés d'un enseignement de qualité par un clan formé de 11 professeurs, issus du Maghreb. Ce sont des professeurs qui n'ont pas la compétence. Des professeurs qui sont en mission idéologique, pour ne pas dire, dans certains cas, en mission religieuse, et qui au fil des années, ont pris le contrôle de cette école.»
- Paul Arcand
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont l'ouragan Milton qui a touché terre dans la soirée de mercredi en Floride.
Ce deuxième ouragan en quelques semaines seulement qu'a connu la Floride a laissé sur son passage d'importantes pluies, de nombreux décès, plusieurs tornades ainsi que des millions d'Américains ayant perdu le courant.
Rappelons que le Sunshine State vient à peine de se remettre des dommages causés par l'ouragan Helene qu'il vient d'être frappé de plein fouet par Milton, considéré par Joe Biden comme étant «la pire tempête en un siècle en Floride.»
«C'est un ouragan massif, qui est d'ailleurs très particulier. Il se nourrit, comme tous les ouragans, des facteurs environnants. Mais c'est un ouragan qui est massif, qui est compact, qui ratisse très large, et pas seulement le secteur de Tampa Bay. Il y a des effets qui sont ressentis de l'autre côté [de la Floride], par exemple à Orlando et Daytona Beach.»
- Paul Arcand
Autres sujets abordés
- Québec sous tutelle la DPJ de la Mauricie qui arrachait des enfants à leurs parents pour les mettre en adoption plus rapidement;
- Le procès d’Isabelle Desormeau: ne perdez pas votre temps à trouver un lit pour le patient, envoyez-le directement à la morgue...;
- 19 coups de feu en direction du bureau de l'avocat Émile Benamor, propriétaire des deux immeubles du Vieux-Montréal incendiés par une main criminelle;
- Le scandale de l'alcool au volant: Québec ne changera pas d'avis sur le 0.08;
- Les Québécois de plus en plus septiques;
- Une facture de 9 000$ pour un poteau estimé à 50$;
- Québec et l'immigration: François Legault ferme la porte au fait de payer les demandeurs d'asile pour qu'ils aillent dans d'autres provinces;
- Recours collectif: 150 concessionnaires automobiles ont ajouté des frais cachés sur la facture;
- France: limite de 50 km/h sur les périphériques pour les décongestionner;
- Inflation alimentaire semble sous contrôle;
- Les rôtisseries St-Hubert: plusieurs questions demeurent...
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur la situation en Floride entourant l'arrivée imminente de l'ouragan Milton.
Le Centre national des ouragans américain (NHC) a d'ailleurs indiqué qu'il est repassé à la catégorie 5, mardi, en fin de journée.
Le président américain Joe Biden a souligné qu'il pourrait s'agir de la pire tempête en un siècle en Floride et il a appelé à suivre les ordres d'évacuation, affirmant que c'est «une question de vie ou de mort».
«Milton va cogner probablement tard mercredi soir ou très tôt jeudi [...] Plus de cinq millions de citoyens en Floride sont visés par des ordres d'évacuation [...] Vous avez des files sur les autoroutes, des stations d'essence fermées en raison du manque de carburant, les supermarchés sont assiégés, on placarde, on tente de protéger ses biens, parce que c'est un ouragan très spécial. Des experts disent que Milton, c'est un excellent symbole des changements climatiques. C'est le type d'ouragans qu'on risque de voir dans les prochaines années, prochaines décennies.»
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit à l'arrivée de l'ouragan Milton - à peine quelques jours après Helene - et aux possibles conséquences désastreuses en Floride.
«Tous les yeux sont tournés vers la Floride pour voir l'évolution de l'ouragan Milton [...] Ça demeure un potentiel très élevé de dommages importants. Le gouverneur de l'État, Ron DeSantis, a dit à ses concitoyens: "Nous n'avons pas le parcours exact, mais préparez-vous parce que ce qui s'en vient, c'est une tempête féroce et une tempête vicieuse."»
Des milliers d'évacuations ont eu lieu dans différentes régions. Des écoles sont déjà fermées et les aéroports de Tampa et d'Orlando vont cesser leurs opérations dans les prochaines heures.
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont le triste anniversaire de l'attaque du Hamas sur des civils israéliens, qui a fait 1200 morts.
Depuis le 7 octobre 2023, l'État hébreu a bombardé la Bande de Gaza, faisant près de 42 000 morts, dont majoritairement des femmes et des enfants palestiniens.
Des commémorations en mémoire des victimes de ce conflit auront lieu un peu partout sur la planète, dont à Montréal.
« Après un an, qu'est-ce qu'on peut dire? [...] Ce qu'on remarque, c'est l'impasse. L'incapacité de trouver un terrain d'entente, une base de cessez-le-feu. Deuxièmement, beaucoup de tension. Ce qui se passe à McGill, alors que le centre-ville de Montréal sera ciblé par des manifestants propalestiniens, qui ont l'intention de déambuler. McGill a pris des mesures de sécurité inhabituelles. Si vous êtes juifs, vous vous sentez ostracisés, visés par ce qui se passe. Si vous êtes palestiniens, vous regardez votre peuple entrain de souffrir. Et partout, la montée de l'intolérance. »
- Paul Arcand
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente les propos du premier ministre François Legault qui a réitéré, à Paris, son désir de voir Ottawa s'occuper de la relocalisation de la moitié des demandeurs d'asile qui se trouvent au Québec.
«Qu'est-ce que ça veut dire, dans les faits? C'est une déportation. Je sais que des partis d'opposition ont utilisé le terme et ce n'est pas faux. C'est-à-dire qu'on ne parle pas de gens qui viennent de débarquer et qu'on envoie ailleurs, mais de gens qui sont déjà installés ici.»
Le ministre québécois de l’Immigration, Jean-François Roberge, a tenté de se faire rassurant, mais de nombreuses questions demeurent sans réponses.
«Comment tu fais pour déterminer qui part à quel moment? se demande Paul Arcand. Et là, on est dans le flou [...] L'autre réalité, c'est que les provinces canadiennes ne veulent pas de ces réfugiés [...] Ce qui fait que François Legault a l'air coincé. Mais Justin Trudeau aussi est coincé.»
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand rend hommage à son ami et ancien collègue, Daniel Pinard, décédé la veille à l'âge de 82 ans.
«Ce matin, j'ai le goût de parler de Daniel [...] Celui qui avait un point de vue précis sur des questions d'actualité et qui n'hésitait pas à déclencher des polémiques. Ce n'était pas toujours conscient, ce n'était pas toujours ce qu'il recherchait, mais il n'était pas le genre à se tasser ou à renoncer aux débats sur les questions importantes.»
Sociologue, écrivain, journaliste, animateur et chroniqueur, homme de grande culture au tempérament unique, Daniel Pinard a livré de nombreuses chroniques au fil des ans, entre autres, dans les émissions radio de Paul Arcand.
Il a également animé plusieurs émissions culinaires à la télévision, révolutionnant le genre par son style et sa passion. «Je pense qu'il a amené beaucoup de gars à s'intéresser à la cuisine, au terroir et aux produits locaux.»
«C'est quelqu'un qui a eu une grande influence dans ma vie et qui m'a fait comprendre qu'au-delà des nouvelles brutales qui nous arrivent sur la gueule tous les jours, il y a toujours des humains derrière et il y a cette espèce de sensibilité. Il m'a vraiment influencé là-dessus et je lui en remercie.»
Autres sujets abordés
⦁ Beyrouth bombardée; Israël prépare sa riposte contre l’Iran
⦁ Conflit Israël-Hamas: à l'approche du 7 octobre, McGill se prépare au pire
⦁ Le Dr Julien se fait sortir de sa fondation
⦁ Le prix du café est de plus en plus corsé
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont l'escalade au Moyen-Orient, alors que l'Iran a lancé près de 200 missiles à longue portée sur Israël.
L'État hébreu promet d'ailleurs de répliquer.
«Au début de la soirée, l'Iran lance 180 - 200 missiles balistiques, qui sont donc des missiles à longue portée sur Israël. Évidemment, le dôme [de fer] s'est déployé, cette forme conjointe américaine-israélienne, pour intercepter ces missiles. La plupart ont été bloqués, quelques-uns ont touché le sol. Les dommages demeurent limités. Un Palestinien a perdu la vie.»
- Paul Arcand
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit à plusieurs sujets de l'actualité, dont l'évolution de la guerre au Moyen-Orient, alors que les forces terrestres israéliennes sont entrées au Liban afin de combattre le Hezbollah.
Selon Israël, cette offensive, qui serait limitée, cible des infrastructures du Hezbollah. Le tout se joue dans un contexte où la communauté internationale demande à l'État hébreu de cesser ses actions envers le Liban.
«Des militaires ont donc envahi le Liban. Les frappes aériennes se sont poursuivies au cours de la nuit, notamment dans le sud de Beyrouth. Un navire de la marine française a été appareillé pour se positionner au large du Liban si on doit faire des évacuations. Au Liban seulement, les frappes de la veille ont fait 95 morts.»
- Paul Arcand
Autres sujets abordés