La FIQ dénonce l’improvisation des gestionnaires pour expliquer la situation dans les urgences régionales.
Selon Julie Boivin, présidente de la section régionale, il y a des mesures qui peuvent être mises en place pour ne plus jamais en arriver à des taux d’occupation de 150%. Celle-ci croit qu’une meilleure gestion des admissions et des étages permettrait d’éviter ces débordements dont les patients sont les ultimes victimes.
La présidente croit qu’un constat doit être fait concernant les ratios professionnelles en soins-patients alors que les élections approchent. Pour Julie Boivin, il est impossible de concevoir qu’en 2022 on tolère qu’une soignante aux urgences ait deux fois plus de patients à sa charge alors que ce serait impensable dans d’autres corps de métier au Québec.