Toutes les salles d’urgence du réseau de la santé sont maintenant munies de trousses afin de détecter dans l’urine des traces d'intoxication aux substances psychoactives, dont le G-H-B, couramment appelé la drogue du viol.
Les autorités québécoises affirment que ces trousses permettront de faciliter le signalement des agresseurs sexuels auprès des corps policiers et, surtout, de mieux accompagner les victimes.
Quelqu'un qui pense avoir été intoxtiqué par la drogue du viol doit se rendre dans n'importe quelle urgence de la province et passer le test. Si le test est positif, la police locale prendra la personne en charge pour s'assurer que l'évaluation de ce qui s'est passé dans les dernières heures se fasse de manière efficace.